Réflexion autour de notre impact sur l'environnement :

CE VOYAGE ET L’ENVIE DE TRANSMETTRE DES VALEURS POSITIVES À NOS ENFANTS, SONT POUR NOUS UNE BONNE OCCASION DE NOUS INTERROGER SUR NOTRE MANIÈRE DE VIVRE ET SUR L’IMPACT QUE NOUS AVONS SUR NOTRE PLANÈTE.
A l’aide de différents calculateurs carbones, proposés par des initiatives comme:
– Fondation Goodplanet (www.goodplanet.org)
– Greentripper (www.greentripper.org)
– Reforest’action (www.reforestaction.com)
NOUS AVONS ÉTUDIÉ L’IMPACT ECOLOGIQUE DE ce VOYAGE et l’avons également comparé à celui de notre VIE SEDENTAIRE sur un an POUR AVOIR UNE VUE SYNTHÉTIQUE SUR LES CONSÉQUENCES DE NOTRE MODE DE VIE. (voir plus bas)
Avec l’aide de Reforest’Action, nous souhaitons contribuer à un projet de reforestation dans l’un des pays que nous allons visiter et ainsi compenser l’empreinte carbone de notre voyage.
Conscients que cette action ne permettra en aucun cas d’annuler notre empreinte, elle est pour nous une occasion de contribuer à la transition écologique.

NOTRE FOYER va émettre ENVIRON 16 TONNES DE CO2 lors de ce voyage

Reforestation au KENYA :

Nous avons choisi de contribuer à un projet de reforestion au coeur de la foret du Mont KENYA et également de visiter le projet lors de notre voyage
Objectifs :    accompagner la restauration du Parc National du Mont Kenya ; créer des forêts-jardins afin de permettre aux populations locales de protéger leurs cultures et de diversifier leurs sources de revenus ; sensibiliser la jeune génération au sein des écoles locales.
Contexte:   Plus de 300 000 membres de diverses communautés ethniques telles que les Kikuyu et les Maasai, dépendent de la forêt du Mont Kenya pour vivre au quotidien, puisant dans leur environnement des ressources en fruits, en plantes médicinales et en eau. Leurs cultures – de rente ou vivrières – ont besoin de la pluie pour croître dans de bonnes conditions. Mais les épisodes de sécheresse se sont multipliés ces dernières années, causés notamment par la déforestation de la région, qui a modifié les régimes climatiques. En raison de l’accroissement démographique, de l’extension des cultures, mais aussi de l’abattage des arbres pour produire du charbon de bois, le Kenya ne possède en effet plus aujourd’hui que 7 % de couverture forestière, contre 18 % au début des années 1960. Aujourd’hui, les rivières issues des forêts détruites du Mont Kenya ne sont plus suffisamment alimentées pour permettre aux communautés d’irriguer leurs cultures.  
Notre contribution permettra la plantation de 100 arbres 
Si vous souhaitez en savoir plus sur le projet:  www.reforestaction.com/mont-kenya-kenya

Analyse de notre impact :

L’analyse effectuée auprès des différents comparateurs carbones nous montre que notre impact environemental est quasiment identique entre notre vie sédentaire et notre voyage itinérant.
Malgré un an de voyage en autonomie avec une consommation energétique au quotidien beaucoup plus responsable, notre bilan carbone se verra alourdi par notre retour en avion.
Ainsi, un simple aller entre Cape Town et Paris représentera plus de la moitié de notre bilan carbone.
Peut être devrions nous considérer de revenir à la maison en remontant l’Afrique de l’OUest?

NOTRE VOYAGE

Retour en avion 8,2 tCO2
Deplacement en 4X4 - 6,3 tCO2
Consommation d'énergie soit 0,5 tCO2
Consommation alimentaire soit 0,8 tCO2
Production de déchets soit 0,16 tCO2

NOTRE VIE SEDENTAIRE

Déplacements en avion soit 10,4 tCO2
Déplacements en voiture soit 1,97 tCO2
Déplacements en train soit 0,18 tCO2
Transports en commun soit 0,03 tCO2
Consommation d'énergie soit 1,6 tCO2
Consommation alimentaire soit 1,5 tCO2
Production de déchets soit 0,3 tCO2